Wasabi

Cinéma Wasabi Création : Gérard Krawczyk, Luc Besson Avec : Jean Reno, Ryôko Hirosue, Michel Muller Diffusion : Cinéma Le film Wasabi, réalisé par Gérard Krawczyk, met en scène Jean Reno dans le rôle d’Hubert Fiorentini, commissaire bougon et bourru, aux côtés de Ryōko Hirosue (Yumi) et Michel Muller (Momo). Le scénario signé Luc Besson nous entraîne de Paris à Tokyo, sur les traces d’un passé latent, d’un héritage inattendu et d’un réseau qui ne plaisante pas. La lumière glisse entre les néons de Tokyo et les ombres urbaines parisiennes, tandis que la texture de l’écran se fait brute, parfois granuleuse, parfois lisse comme un rideau de pluie sur vitres. Le rythme alterne tension et respiration, les couleurs passant d’un bleu glacier à un rouge chaud-épice, comme un wasabi qui monte au nez. . L’étalonnage joue finement sur les contrastes : les rouges sont profonds, les peaux légèrement dorées, les arrière-plans japonisants légèrement désaturés pour mieux laisser vibrer les personnages. la post-production image, révéle chaque nuance du métal froid d’un avion au regard incandescent de Yumi grâce à un savoir-faire alliant rigueur technique et sensibilité cinématographique Post-production image Post-production son livraisons aux diffuseurs https://digitalfactory.fr/wp-content/uploads/2025/11/Wasabi-Bande-Annonce-VF.webm
Le baiser mortel du dragon

Cinéma Le baiser mortel du dragon Création : Chris Nahon, Luc Besson, Robert Mark Kamen, Jet Li Avec : Jet Li, Bridget Fonda, Tchéky Karyo Diffusion : Cinéma Le Baiser mortel du Dragon réalisé par Chris Nahon et mettant en vedette Jet Li, Bridget Fonda et Tchéky Karyo, raconte l’histoire de Liu Jian, officier des services secrets de Hong-Kong envoyé à Paris pour une mission qui dérape. Trahi, accusé à tort, il devient fugitif et se lance dans une course contre la montre pour prouver son innocence. L’univers visuel du film conjugue élégance et brutalité la lumière froide des rues parisiennes, la texture glacée des façades haussmanniennes, les courses-poursuites sous le bleu urbain tout est rythme et tension. La post-production image joue un rôle essentiel, affinement du grain, contraste accentué, mouvement fluide des caméras-volantes. Chaque plan respire la traque, chaque cadre capture un souffle suspendu entre désir de vérité et chute inévitable. Post-production image post-production son livraisons aux diffuseurs https://digitalfactory.fr/wp-content/uploads/2025/11/Kiss-of-the-Dragon-2001-Trailer-HD.mkv
Yamakasi

Cinéma Yamakasi Les Samouraïs des temps modernes Création : Julien Seri, Ariel Zeitoun, Luc Besson, Philippe Lyon Avec : Malik Diouf, Châu Belle Dinh, Amel Djemel Diffusion : Cinéma Le film Yamakasi, réalisé par Ariel Zeitoun et Julien Seri, met en scène un groupe de sept jeunes de cité, maîtrisant le mouvement urbain et défiant la gravité. Ensemble, ils vont se lancer dans une mission improbable pour sauver un enfant atteint d’une grave maladie cardiaque. L’univers visuel du film conjugue énergie brute et esthétique urbaine : les sauts entre immeubles, la lumière naturelle dans les cages d’escalier, la texture rugueuse des façades et l’ombre des tours annoncent le rythme effréné mais aussi la douceur respirante de certaines scènes. La post-production joue un rôle central : grain affiné, contrastes renforcés, mobilité fluide des plans pour restituer la vitesse et la tension. Le cadre devient lui-même un terrain de jeu, et chaque angle porte la sensation du saut, de l’envol et du retentissement. Post-production image Post-production son livraisons aux diffuseurs https://digitalfactory.fr/wp-content/uploads/2025/11/YAMAKASI-Bande-Annonce-VF.webm
L’art (délicat) de la séduction

Cinéma L’art (Délicat) de la séduction Création : Richard Berry, Jean-Marc Aubert, Fabrice Roger-Lacan Avec : Patrick Timsit, Cécile de France, Richard Berry Diffusion : Cinéma Le film L’Art (délicat) de la séduction, réalisé par Richard Berry raconte l’histoire d’Étienne, quadragénaire, qui s’engage dans une quête singulière de maîtrise et de désir après sa rencontre avec Laura. Dans ce jeu de rendez-vous et d’attentes, il explore un terrain entre liberté et contrainte, où le désir se mesure au temps. Le film adopte un univers visuel à la fois élégant et vulnérable : lumière douce mais nerveuse, textures feutrées dans les intérieurs. La post-production image joue ici un rôle subtil : la matière des visages, la finesse des ombres, les silences incarnés dans le cadre deviennent des composantes à part entière du récit. Les couleurs se tempèrent, les contrastes s’affinent, et chaque plan décline la tension entre attente et révélation. Post-production image Accessibilité livraisons aux diffuseurs https://digitalfactory.fr/wp-content/uploads/2025/11/LArt-delicat-de-la-seduction-2001-Bande-Annonce-VF-IAXbAGJJdUE.mkv
De l’amour

Cinéma De l’amour Création : Jean-François Richet, Yazid Aït Avec : Virginie Ledoyen, Mar Sodupe, Stomy Bugsy Diffusion : Cinéma Le film De l’amour, réalisé par Jean‑François Richet, met en lumière une jeune femme, Maria (Virginie Ledoyen), qui cherche à briser l’ennui de son existence âprement banale et s’engage sur un chemin où la légèreté se heurte à l’inévitable. Dans cette vague de désir de liberté, elle croise Manu (Stomy Bugsy) et Pascal (Bruno Putzulu), l’équilibre précaire de sa quête se fragilise. Dans une France contemporaine aux quartiers périphériques, où les ambitions se heurtent à des réalités parfois rugueuses. L’univers visuel s’inscrit dans une lumière crue et presque documentaire : texture des murs décrépis, reflets tamisés dans les néons de fin de soirée, rythme des pas dans un métro ou d’un trottoir fatigué. Le jeu des ombres et des tons froids dessine un climat suspendu, où l’espoir et la tension se mêlent. C’est un travail d’image, de post-production qui privilégie la matière, le grain, l’intimité des visages où les silences deviennent palpables. Post-production image Post-production son livraisons aux diffuseurs https://digitalfactory.fr/wp-content/uploads/2025/11/DE-LAMOUR-Bande-annonce-VF-480.mp4
15 Août

Cinéma 15 Août Création : Patrick Alessandrin, Lisa Azuelos Avec : Richard Berry, Charles berling, Jean-pierre Darroussin Diffusion : Cinéma Avec 15 Août, Patrick Alessandrin signe une comédie douce-amère portée par Richard Berry, Charles Berling et Jean-Pierre Darroussin. Trois hommes, abandonnés par leurs compagnes le temps d’un week-end à la mer, se retrouvent face à eux-mêmes entre désarroi, humour et renaissance. Sous ses airs de légèreté, le film explore les nuances subtiles de la masculinité et de l’amitié. La post-production image joue ici un rôle essentiel : elle traduit la chaleur des souvenirs et la douceur mélancolique de l’été. Lumière dorée, reflets salés, tonalités pastel chaque plan respire la temporalité suspendue des vacances. L’étalonnage sculpte une ambiance à la fois solaire et introspective, où la texture du réel se teinte d’une émotion simple et sincère. Digital Factory a accompagné cette œuvre dans un travail de finition tout en nuance, restituant l’équilibre entre comédie et mélancolie. Une approche fidèle à la philosophie du studio : magnifier la lumière du quotidien pour révéler, à travers chaque image, la vérité d’une émotion. Post-production image Post-production sons livraisons aux diffuseurs https://digitalfactory.fr/wp-content/uploads/2025/11/15-aout-2001-Bande-annonce.mp4
Les rivières pourpres 2 : Les anges de l’apocalypse

Cinéma Les rivières pourpres 2 Les anges de l’apocalypse Création : Olivier Dahan, Luc Besson, Jean-Christophe Grangé Avec : Jean Reno, Benoit Magimel, Camille Natta Diffusion : Cinéma Dans Les Rivières pourpres 2 : Les anges de l’apocalypse, Olivier Dahan prolonge l’univers de Mathieu Kassovitz en le transfigurant. Jean Reno retrouve le rôle du commissaire Niemans, cette fois entraîné dans un labyrinthe ésotérique où rites anciens et crimes contemporains se confondent. Entre symbolisme religieux et course contre la mort, le film déploie une tension à la fois mystique et organique. La post-production accentue cette dualité : une lumière dorée qui filtre à travers la pierre et la poussière, des ombres denses qui sculptent les visages comme des icônes. Les textures, volontairement granuleuses, font vibrer la matière du sacré et du réel. Chaque séquence trouve son équilibre entre violence et contemplation, révélant une esthétique du chaos maîtrisé. Le studio a accompagné cette vision avec un travail d’étalonnage précis et sensoriel, restituant la densité chromatique et la clarté dramatique voulues par le réalisateur. Un geste de post-production au service de la lumière, de la tension et du mystère fidèle à la mission du studio : donner à chaque image la justesse d’une émotion. Post-production image Post-production son livraisons aux diffuseurs https://digitalfactory.fr/wp-content/uploads/2025/11/Les-Rivieres-pourpres-2-2004-Bande-Annonce-VF.webm
Les Rivières pourpres

Cinéma Les Rivières pourpres (2000) Création : Mathieu Kassovitz, Jean-Christophe Grangé Avec : Jean Reno, Vincent Cassel, Nadia Farès Diffusion : Cinéma Dans Les Rivières pourpres, Mathieu Kassovitz entraîne Jean Reno et Vincent Cassel dans une enquête aux confins de la raison, où chaque indice semble dissimuler un secret plus ancien. Entre montagnes oppressantes et silences chargés, le film compose un univers minéral, tendu, traversé par la violence et la foi. La post-production révèle ici la puissance sensorielle du récit : une lumière crépusculaire qui ronge les reliefs, des contrastes d’une précision chirurgicale, une palette froide qui installe une tension viscérale. Chaque plan semble respirer la peur et la fascination, dans un équilibre fragile entre polar et mystique. Digital Factory a accompagné cette matière visuelle avec un travail d’étalonnage et de finition d’une grande exigence sculptant les ombres, ajustant la densité, jusqu’à trouver la vibration juste. Parce qu’au cœur de chaque image, se cache toujours une émotion à révéler. Post-production image Post-production son livraisons aux diffuseurs https://digitalfactory.fr/wp-content/uploads/2025/11/Les-Rivieres-pourpres-2000-Bande-annonce-Version-Fra.mkv
Les blessures assassines

Cinéma Les blessures assassines (2000) Création : Jean-pierre Denis, Michèle Pétin, Paulette Houdyer Avec : Sylvie Testud, Julie-Marie Parmentier, Isabelle Renauld Diffusion : Cinéma Porté par les interprétations bouleversantes de Sylvie Testud et Julie-Marie Parmentier, Les Blessures assassines retrace le destin tragique des sœurs Papin, domestiques liées par un lien fusionnel et meurtrier. Entre oppression sociale et vertige psychologique, Jean-Pierre Denis dresse le portrait d’une aliénation à la fois intime et universelle. Dans cette œuvre tendue et lumineusement austère, le travail de post-production révèle toute la matière sensible du récit : une lumière coupante, des textures froides et organiques, un grain qui respire la tension. Le rythme visuel épouse la folie montante des protagonistes, transformant chaque silence en déflagration émotionnelle. La précision du contraste et la justesse chromatique accentuent la frontière floue entre réalité et délire. Grâce à un savoir-faire alliant rigueur technique et sensibilité cinématographique, le studio a sublimé la texture du film fidèle à sa mission : donner à chaque image la justesse d’une émotion. Post-production image Accessibilité livraisons aux diffuseurs https://digitalfactory.fr/wp-content/uploads/2025/11/Les-blessures-assassines-Bande-Annonce-VF.mkv
The Dancer

Cinéma The Dancer (2000) Création : Frédéric Garson, Jessica Kaplan, Luc Besson Avec : Mia Frye, Garland Whitt, Rodney Eastman Diffusion : Cinéma Dans The Dancer, réalisé par Fred Golan et porté par Mia Frye, le corps devient langage. Ce film atypique mêle performance, musique électronique et abstraction visuelle pour explorer la frontière entre mouvement et émotion. L’image y tient un rôle central : captée, modulée, amplifiée par un travail d’image exigeant, où le rythme s’imprime dans chaque plan. Jeux de contrastes, textures organiques, fondus rythmés : chaque choix visuel prolonge la musicalité du geste et la physicalité de la danse. La post-production devient ici un prolongement du mouvement, un souffle, une pulsation. Digital Factory a accompagné cette œuvre singulière avec une approche à la fois technique et sensible, qui a permis de révéler toute la dimension sensorielle du film. Une collaboration où la technologie s’efface au profit de l’émotion visuelle. Post-production image Post-production son livraisons aux diffuseurs https://digitalfactory.fr/wp-content/uploads/2025/11/The-Dancer-Bande-annonce-Version-Francaise.mkv