Les côtelettes

Cinéma Les Côtelettes Création : Bertrand Blier Avec : Philippe Noiret, Michel Bouquet, Farida Rahouadj Diffusion : Cinéma Les Côtelettes, film de Bertrand Blier sorti en 2003, réunit Philippe Noiret, Michel Bouquet et Farida Rahouadj dans une comédie dramatique inspirée de la pièce du même auteur. Un soir, « Le Vieux » arrive chez Léonce, son fils, et déclenche une conversation qui bascule vite vers l’intime : femmes, amour, désir, rapport aux autres. Bientôt, Nacifa, la jeune femme de ménage, intervient dans leurs échanges, troublant leurs certitudes et leurs rapports, tandis qu’une présence singulière celle de « La Mort » plane sur leurs mots. L’univers visuel du film joue sur la proximité des corps et des regards, des intérieurs feutrés, des lumières tamisées et des contrastes subtils. L’esthétique privilégie la matière des visages, la chaleur des tons, les ombres délicates, créant une atmosphère presque théâtrale à l’écran. La caméra, souvent intime, capte des moments suspendus où la texture de la lumière agit comme un prolongement des dialogues. Dans ce cadre, la post-production image et l’étalonnage sont des alliés pour affiner les nuances, renforcer le naturel des ambiances et accompagner la voix des acteurs sans artifice. L’enjeu est de préserver l’équilibre entre ombre et lumière, respectant l’humain au centre de chaque plan.et l’étalonnage sont des alliés pour affiner les nuances, renforcer le naturel des ambiances et accompagner la voix des acteurs sans artifice. L’enjeu est de préserver l’équilibre entre ombre et lumière, respectant l’humain au centre de chaque plan. Post-production image Post-production son livraisons aux diffuseurs https://digitalfactory.fr/wp-content/uploads/2025/12/Les-Cotelettes-Bande-Annonce.mkv Retour
Le transporteur

Cinéma Le transporteur Création : Louis Leterrier, Corey Yuen, Luc Besson Avec : Jason Statham, François Berléand, Shu Qi Diffusion : Cinéma Le Transporteur, réalisé par Louis Leterrier et Corey Yuen (2002), met en scène Jason Statham dans le rôle de Frank Martin, un ex-militaire devenu “transporteur” : il livre n’importe où, n’importe quoi, pour le bon prix, sans poser de questions. Visuellement, le film adopte un style tendu. On retrouve des lumières de ville, des néons, des intérieurs fermés, une esthétique parfois froide et mécanique, contrebalancer par la lumière chaude et naturel du sud de la France. Le tout avec un rythme nerveux et haletant. L’image traduit le danger, la course contre le temps. Dans ce cadre, l’étalonnage et la finition renforce l’impact, souligner les contrastes, accentuer les ombres, donner de la clarté aux lumières artificielles, pour faire ressortir la tension et l’urgence. Un travail de post-production Image qui préserve l’intensité sans tomber dans l’excès. Post-production image Post-production son livraisons aux diffuseurs https://digitalfactory.fr/wp-content/uploads/2025/12/The-Transporter-Trailer.mp4 Retour
La Felicita, le bonheur ne coûte rien

Cinéma La Felicita, le bonheur ne coûte rien Création : Mimmo Calopresti, Francesco Bruni Avec : Mimmo Calopresti, Francesca Neri, Vincent Perez Diffusion : Cinéma La Felicita, le bonheur ne coûte rien (La felicità non costa niente), réalisé par Mimmo Calopresti en 2003, réunit Vincent Perez, Valeria Bruni-Tedeschi et Calopresti lui-même. Le film suit Sergio, un homme comblé en apparence, dont la vie bascule après un accident. Ce choc le pousse à remettre en question son couple, ses certitudes et sa manière de vivre jusqu’à chercher un bonheur plus essentiel, loin des habitudes qui l’étouffaient. L’univers visuel repose sur des lumières douces, des textures simples, des ambiances calmes. La caméra observe plutôt qu’elle ne souligne. Les couleurs, légères et parfois mélancoliques, accompagnent cette quête intérieure. Chaque plan semble porté par un rythme lent, presque méditatif, où l’émotion naît du silence autant que des gestes. La post-production image et l’étalonnage viennent affiner la matière sans l’alourdir. Le travail consiste à préserver la sobriété, à renforcer la clarté des lumières et la douceur des contrastes. Digital Factory cherche ici la nuance : sublimer discrètement, tout en respectant l’intention du réalisateur. Post-production image Post-production son livraisons aux diffuseurs https://digitalfactory.fr/wp-content/uploads/2025/12/LA-FELICITA-LE-BONHEUR-NE-COUTE-RIEN-Bande-annonce-VO.mp4 Retour
Blanche

Cinéma Blanche Création : Bernie Bonvoisin Avec : Lou Doillon, Carole Bouquet, Roschdy Zem Diffusion : Cinéma Dans Blanche (2002), réalisé par Bernie Bonvoisin, Lou Doillon incarne Blanche, une jeune femme insaisissable, marquée par une fragilité profonde et un rapport au monde fait d’élans et de retraits. Lorsqu’elle rencontre Sam (interprété par Roschdy Zem), un homme sincère, solide, presque trop stable pour elle, une relation se noue intense, désordonnée, impossible à contenir. Visuellement, Blanche installe une atmosphère à fleur de peau : la lumière semble glisser sur les surfaces comme un souffle fragile, éclairant les visages avec une douceur presque douloureuse.L’étalonnage privilégie les nuances : ombres légères, couleurs pastel, contrastes atténués. Post-production image Post-production son livraisons aux diffuseurs https://digitalfactory.fr/wp-content/uploads/2025/12/BLANCHE-Bande-annonce-VF.mp4
Aram

Cinéma Aram Création : Robert Kéchichian Avec : Simon Abkarian, Lubna Azabal, Mathieu Demy Diffusion : Cinéma Le film Aram, réalisé par Robert Kéchichian, suit le parcours de Aram Sarkissian, un ancien militant franco-arménien qui revient clandestinement en France. Il doit organiser un achat d’armes mais plus encore affronter les fantômes d’un attentat ancien, celui qui a détruit en partie sa famille. Visuellement, Aram déploie une esthétique sombre, granuleuse, presque documentaire, les ruelles de Paris sont baignée d’ombres lourdes, de lumières urbaines crues. En post-production image, l’étalonnage accentue cette atmosphère âpre : les ocres désaturés, les noirs denses et les lumières néon ou halogènes sculptent des visages tendus, des regards fuyants et des silences lourds. Post-production image Post-production son livraisons aux diffuseurs https://digitalfactory.fr/wp-content/uploads/2025/12/ARAM-Bande-annonce-VF-son-balance.mp4
Irène

Cinéma Irène Création : Ivan Calbérac, Eric Assous Avec : Cécile de France, Bruno Putzulu, Olivier Sitruk Diffusion : Cinéma Le film Irène, réalisé par Ivan Calbérac, met en lumière Cécile de France dans le rôle d’Irène, une trentenaire Parisienne avec un bon travail, entourée d’amies fidèles mais qui est à la recherche d’un amour sincère. Après une série de tentatives ratées Irène croise le chemin de François, un ouvrier venu rafraîchir son appartement. Peu à peu, ce qui semblait une simple entente de convenance se transforme en possible lien authentique, libérant en elle l’espoir d’un amour véritable. isuellement, le film installe un contraste subtil entre la modernité aérée de Paris et la fragilité intérieure d’Irène. L’atmosphère oscille entre l’élégance urbaine diurne et l’intimité d’appartements aux couleurs douces et tamisées. En termes d’étalonnage, la lumière paraît légère, presque aérienne, filtrée comme un voile délicat sur les visages, tandis que les intérieurs révèlent des textures feutrées invitant le regard à s’attarder sur la nuance, le soupir, le silence. La post-production image, chaque plan semble respirer le désir de délicatesse : le rythme visuel épouse les hésitations du cœur, les hésitations d’Irène, entre désir, doute et espoir, révélant la vulnérabilité et la douceur de ses aspirations. Post-production image Post-production son livraisons aux diffuseurs https://digitalfactory.fr/wp-content/uploads/2025/11/IRENE-Bande-annonce-VF.mp4
La guerre à Paris

Cinéma La guerre à Paris Création : Yolande Zauberman, Gérard Brach Avec : Jérémie Renier, Élodie Bouchez, Grégoire Colin Diffusion : Cinéma Le film La guerre à Paris, réalisé par Yolande Zauberman et co-écrit avec Gérard Brach, met en scène Jérémie Renier dans le rôle de Jules un jeune juif de 19 ans qui vit à Paris sous l’Occupation.Dans ce drame historique, Jules se trouve balloté entre passivité et action, trahison et engagement, tandis que son frère Thomas, plus jeune, cherche à résister à l’occupation allemande. Visuellement, le film déploie une palette de lumières tamisées et d’ombres lourdes : les rues parisiennes sous l’Occupation sont baignées d’un clair-obscur presque métaphysique, tandis que les intérieurs familiaux, clos et feutrés, offrent une texture visuelle dense et intimiste. Post-production image post-production son livraisons aux diffuseurs https://digitalfactory.fr/wp-content/uploads/2025/11/LA-GUERRE-A-PARIS-Bande-annonce-VF_Upscalee.mp4
Yamakasi

Cinéma Yamakasi Les Samouraïs des temps modernes Création : Julien Seri, Ariel Zeitoun, Luc Besson, Philippe Lyon Avec : Malik Diouf, Châu Belle Dinh, Amel Djemel Diffusion : Cinéma Le film Yamakasi, réalisé par Ariel Zeitoun et Julien Seri, met en scène un groupe de sept jeunes de cité, maîtrisant le mouvement urbain et défiant la gravité. Ensemble, ils vont se lancer dans une mission improbable pour sauver un enfant atteint d’une grave maladie cardiaque. L’univers visuel du film conjugue énergie brute et esthétique urbaine : les sauts entre immeubles, la lumière naturelle dans les cages d’escalier, la texture rugueuse des façades et l’ombre des tours annoncent le rythme effréné mais aussi la douceur respirante de certaines scènes. La post-production joue un rôle central : grain affiné, contrastes renforcés, mobilité fluide des plans pour restituer la vitesse et la tension. Le cadre devient lui-même un terrain de jeu, et chaque angle porte la sensation du saut, de l’envol et du retentissement. Post-production image Post-production son livraisons aux diffuseurs https://digitalfactory.fr/wp-content/uploads/2025/11/YAMAKASI-Bande-Annonce-VF.webm
De l’amour

Cinéma De l’amour Création : Jean-François Richet, Yazid Aït Avec : Virginie Ledoyen, Mar Sodupe, Stomy Bugsy Diffusion : Cinéma Le film De l’amour, réalisé par Jean‑François Richet, met en lumière une jeune femme, Maria (Virginie Ledoyen), qui cherche à briser l’ennui de son existence âprement banale et s’engage sur un chemin où la légèreté se heurte à l’inévitable. Dans cette vague de désir de liberté, elle croise Manu (Stomy Bugsy) et Pascal (Bruno Putzulu), l’équilibre précaire de sa quête se fragilise. Dans une France contemporaine aux quartiers périphériques, où les ambitions se heurtent à des réalités parfois rugueuses. L’univers visuel s’inscrit dans une lumière crue et presque documentaire : texture des murs décrépis, reflets tamisés dans les néons de fin de soirée, rythme des pas dans un métro ou d’un trottoir fatigué. Le jeu des ombres et des tons froids dessine un climat suspendu, où l’espoir et la tension se mêlent. C’est un travail d’image, de post-production qui privilégie la matière, le grain, l’intimité des visages où les silences deviennent palpables. Post-production image Post-production son livraisons aux diffuseurs https://digitalfactory.fr/wp-content/uploads/2025/11/DE-LAMOUR-Bande-annonce-VF-480.mp4
15 Août

Cinéma 15 Août Création : Patrick Alessandrin, Lisa Azuelos Avec : Richard Berry, Charles berling, Jean-pierre Darroussin Diffusion : Cinéma Avec 15 Août, Patrick Alessandrin signe une comédie douce-amère portée par Richard Berry, Charles Berling et Jean-Pierre Darroussin. Trois hommes, abandonnés par leurs compagnes le temps d’un week-end à la mer, se retrouvent face à eux-mêmes entre désarroi, humour et renaissance. Sous ses airs de légèreté, le film explore les nuances subtiles de la masculinité et de l’amitié. La post-production image joue ici un rôle essentiel : elle traduit la chaleur des souvenirs et la douceur mélancolique de l’été. Lumière dorée, reflets salés, tonalités pastel chaque plan respire la temporalité suspendue des vacances. L’étalonnage sculpte une ambiance à la fois solaire et introspective, où la texture du réel se teinte d’une émotion simple et sincère. Digital Factory a accompagné cette œuvre dans un travail de finition tout en nuance, restituant l’équilibre entre comédie et mélancolie. Une approche fidèle à la philosophie du studio : magnifier la lumière du quotidien pour révéler, à travers chaque image, la vérité d’une émotion. Post-production image Post-production sons livraisons aux diffuseurs https://digitalfactory.fr/wp-content/uploads/2025/11/15-aout-2001-Bande-annonce.mp4